EXPOSITION
Un marchand / Un artiste2024
du 27 avril au 2 juin 2024
Nocturne le samedi 27 avril jusqu'à 22h
Le Marché Dauphine et le Marché Biron s’associent à nouveau en 2024 pour présenter la 6ème édition de “Un Marchand, Un Artiste”. Chaque marchand accueille sur son stand un artiste de son choix (artisan d’art, designer, styliste…).
Les artistes invités :
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GALERIE RICARDO FERNANDES
Stand 95
Ricardo Fernandes présente le travail de Lita Cerqueira dans sa galerie du 27 avril au 30 juin.
Exposition Portrait d’une artiste avec des œuvres de Lita Cerqueira.
Lita Cerqueira est obstinée et audacieuse. Grâce à cette obstination elle a construit une œuvre qui retrace l’Histoire afro-brésilienne contemporaine et, sans en être vraiment consciente, sa persistance, l’a menée vers un art qui lui a donné la chance de changer sa vie. Le « Quilombo » de la lutte armée est arrivé à son terme, il a été remplacé par celui de la lutte intellectuelle, à laquelle Lita Cerqueira participe encore activement, et qui a donné naissance au cinéma brésilien, à la samba, à la danse et à la création de la culture brésilienne. Le regard de Lita Cerqueira balaye la terre, démystifie la vie, embellit tout ce qui est au-delà de ce que nous percevons au premier regard.
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LIBRAIRIE AMK
Stand 207
Anne-Marie Kucharski présentera le travail des artistes ArteMysia & Phillipe Joubert Lussac sur son stand. Artiste autodidacte, ArteMysia aime à raconter des histoires et créer des atmosphères à l’aide de papiers, photos, tissus ou documents anciens. Surréalistes ou mélancoliques, ses compositions appellent au silence et à la contemplation, mais questionnement aussi sur nos mondes intérieurs et sur la fragilité de la vie.
Philippe Joubert Lussac se forme aux techniques du tirage argentique au sein du club photographique de la Maison du Mexique et s’initie à la peinture aux Beaux-Arts de Paris. C’est en 2000 qu’il montre pour la première fois son travail, à l’exposition des artistes plasticiens de la Cité Internationale Universitaire de Paris. Passionné d’images mais aussi d’écriture, il ouvre fin 2006 le blog Gris-bleu.fr qui lui permet de montrer son travail créatif : des œuvres numériques très travaillées qui mêlent ses dessins et ses photographies à des documents d’archives. Il est lauréat en 2011 du 5ème concours photographique de la ville de Dax. Les thèmes récurrents de ses œuvres sont le temps qui passe, le deuil de l’enfance et la légèreté. Des thèmes à la fois universels et intimes qui affirment leur expression dans le mystère et la poésie.
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VELVET GALERIE
Stand 27
Benoit Ramognino présentera le travail de l’artiste Cyril Bartolo, avec une exposition nommée Saveurs d’enfance sur son stand.
Une série d’œuvres décoratives crées à partir de parutions originales, livres, magazines, albums originaux, journaux d’époque découpés puis collés et patiemment agencés sur des toiles en lin. Chaque collage unique est assorti de masques César correspondant à la thématique choisie pour les fonds. Le résultat final de ce mélange de techniques, de matières, de textures donne du relief aux vieux albums de BD et un environnement décoratif idéal pour les masques vintage de la maison César. Chaque pièce est unique. Une vraie déclaration d’amour pour tous nos amis d’enfance, un réel hommage aux héros de notre jeunesse et à l’univers télévisuel des dessins animés des années 1950 à 2000. Tous ces personnages de la télévision étaient vivants à travers notre regard d’enfant…Voyage dans le temps garanti…
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GALERIE MARYAM AHI
Stand 57
Maryam AHI présentera le travail des artistes Majid Ahmadi, Madhi Dashti, Hossein Ehsai, Ali Jamshidi, Vahid Mohammadi, Keyvan Roshanbin, Medhi Mirbagheri, Saviz Schalchian, Behrouz Zindashti avec une exposition intitulée Deep Blue dans sa galerie.
Majid Ahmadi ; « Je suis un observateur curieux et fasciné par les questions complexes. En regardant le monde des machines, je me suis rendu compte que ce monde étrange m’était totalement inconnu. Pour le comprendre, j’ai étudié tout ce qui s’y rapporte. Ma formation en génie civil m’a fait prendre conscience de la diversité des matériaux et m’a permis d’acquérir de l’expérience dans ce domaine. Ma spécialité n’étant pas l’art, j’ai pu voir ce monde de mon propre point de vue. Ce monde est pour moi l’occasion d’étudier la nature des choses dans les relations entre l’homme et la machine ».
Medhi Dashti : « Dans mes œuvres, j’ai montré le contraste entre la ville et ses dérivés, et je considère l’être humain comme une partie importante de cette ville et de ce pays, et je crois que l’existence d’êtres humains tristes et déprimés peut provoquer la mort d’un une ville ou un pays et même une culture. La preuve de cette tristesse est celle qui est représentée les yeux fermés et indépendamment de la présence du public, et qui fait référence au désespoir des êtres humains d’aujourd’hui et de l’environnement qui les entoure et du monde, et exprime également une sorte de protestation contre le fait qu’il y a n’a jamais été l’occasion de l’exprimer ».
Ali Jamshidi
Son parcours artistique a débuté en 1972 au centre pour le développement intellectuel des enfants et des jeunes adultes, où il a commencé à nourrir sa passion pour la créativité.
Tout au long de sa carrière, Jamshidi s’est plongé dans les subtilités de différents styles artistiques, acquérant une connaissance approfondie des formes d’art traditionnelles iraniennes, de l’ère Safavide à l’ère Qajar. Son expertise couvre un large éventail de domaines, notamment l’art exquis de la peinture miniature, la finesse de l’enluminure, les subtilités de la conception des tapis et la beauté intemporelle de la calligraphie. Sa maîtrise dans ces domaines est soulignée par le prestigieux diplôme supérieur de calligraphie que lui a décerné l’Association iranienne des calligraphes.
Vahid Mohammadi
Né en 1982 Zanjan en Iran. Il a obtenu son diplôme à l’Université Shahed de Téhéran en 2004. Depuis, Il travaille comme l’un des principaux artistes de la galerie d’art Atbin à Téhéran en Iran avec une moyenne de 20 peintures présentées chaque année. La Galerie Maryam Ahi a choisi Vahid Mohammadi comme artiste iranien s’exprimant avec l’abstraction.
Medhi Mirbagheri
Artiste contemporain iranien né en 1980 à Téhéran. Dès ses premières années de formation il choisit de se tourner vers les nouveaux médias et le mélange de techniques diverses (photo, graphisme, peinture, collage) pour développer sa propre identité visuelle, s’essayant au passage à différentes expériences artistiques d’installations vidéo et de performances. À partir 2008 il se tourne vers le Pop Art en créant des œuvres reprenant les codes picturaux hérités de Lichtenstein qu’il mêle à des calligraphies arabes et persanes.
Saviz Schalchian
L’œuvre de Saviz peut être décrite comme un surréalisme impressionniste avec une pensée conceptuelle derrière ses créations. À l’âge de huit ans, il a commencé à étudier avec le maître Abbas Katouzian, où il a maîtrisé son style unique et élégant à l’huile. L’œuvre de Saviz, bien qu’essentiellement figurative, n’en est pas moins…
Keyvan Roshanbin : » Jardins mystérieux » » Qu’est-ce qui fait qu’un amas de plantes peut être appelé jardin ? Contrairement à la définition courante du jardin, le mien est sans barrière, sans restriction et sans espace. Je ne peux même pas dire quel type de plantes ils abritent… Pour moi, les jardins se limitent à ma vision de la nature. Ils n’ont pas d’ordre et d’arrangement ; ils sont confus comme moi et mon environnement. Mes jardins ont perdu leur symétrie et sont laissés sans jardinier. Sans jardinier plein et élégant. Ils ont été versés et ont une qualité poétique. Je n’avais pas l’intention de dessiner quoi que ce soit pendant tout ce temps, je pensais à la beauté mystérieuse perdue des jardins iraniens. Des jardins iraniens sans jardinier et enchantés. »
Behrouz Zindashti
Né en 1978 à Salmas en Iran. Behrouz Sharifi Zindashti est calligraphe, graphiste et maître de conférences à Téhéran. Il a obtenu la distinction honorifique de l’Association de l’Iran calligraphe. Il donne des leçons de calligraphie et lettres conception, typographique, l’écriture de l’histoire et des discussions théoriques connectés. Ses articles ont été publiés. Ses travaux sont exposés dans des expositions et des foires d’art internationales telles que celle de Vienne ou la foire d’art de Dubaï, des expositions collectives à Zurich et à Genève.
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ROZALI’ART GALLERY
Stand 71-72
Rozalia Rémy présentera le travail de l’artiste contemporain japonais Kunio Kaneko qui nous fera découvrir toutes ses estampes japonaises précieuses réalisées en édition limitée. Sur fond de feuilles d’or ou d’argent, Kunio Kaneko, artiste contemporain japonais, nous fait découvrir le Japon traditionnel à travers ses estampes qui apportent une touche luxueuse grâce à l’or ou à l’argent qu’il utilise. Kunio Kaneko se définit lui-même comme un homme moderne dans un art ancestral.
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FINE ARTS FRANCE
Stand 30
Michel et Hélène Cabotse présenteront le travail de trois artistes ; Delphine Liard-Rateau, céramiste, Olesia Kaïra artiste peintre et Patricia Cabotse créatrice de collages.
Delphine Liard-Rateau
Artiste sourde, parisienne, 48 ans. Diplômée design textile en 2000 à l’école supérieure d’art textile Conte/Neufville à Paris. Delphine travaillait pour l’Édition d’ameublement haut gamme chez Frey/Le Manach – Paris. Delphine a découvert la passion de La céramique il a environ 5 ans par un Atelier de la ville de Paris ; « j’ai vite adoré la manière de réaliser un objet, la terre, l’émaillage, le tournage ; j’ai déjà fait de la sculpture jadis, mais quel plaisir de voir après la cuisson l’émail de mes pièces ! Chaque pièce est unique et je n’aime pas la répétition, mais explorer encore plus loin dans la nouveauté et la recherche de formes. Mon imaginaire est nourri par la nature, la végétation, les animaux, les métiers d’arts, les voyages, la visite des musées et expositions ».
Olesia Kaïra
Née en 1979 en Ukraine, Olesia Kaïra est autodidacte, formée seule au contact de la nature et d’une passion vivace pour les fleurs, les plantes, le végétal, littéralement absorbée par la technique complexe de l’aquarelle. Elle se consacre petit à petit à ce qu’elle qualifie de « portraits de fleurs », s’attachant à traduire ce qui dans chacune de ces fleurs en fait la personnalité, les caractéristiques profondes, presque la senteur. Plutôt que s’évertuer à en restituer une vision descriptive ou prétendument scientifique et naturaliste, elle cherche à les observer dans leurs plus intimes reflets, à transcender l’observation du réel, jusqu’à restituer « la beauté de l’imperfection ». Sa technique, toujours basée sur l’usage de l’aquarelle, est de plus en plus élaborée, tirant parti de glacis, de frottages, de reprises successives du sujet jusqu’à atteindre l’effet désiré.
Patricia Cabotse
Ces images fragmentées sont donc découpées entièrement à la main, dans diverses revues et supports papier offset, et collés à la bombe afin d’absorber la moindre irrégularité entre le support et l’image rapportée. « Mes sources d’inspiration sont issues essentiellement de l’architecture, de l’histoire de l’art, de la nature. Les cadres utilisés sont glanés au hasard de mes « chines » et choisis en fonction de l’œuvre réalisée. En effet, il est important qu’ils aient déjà un vécu, tout comme les éléments des collages. Une façon de transcender l’ordinaire tout en respectant les objets ayant déjà eu une vie… De fait, chaque collage est original et unique ».
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DOMINIQUE SAINT-MARTIN
Stand 8-11
Dominique Saint-martin présentera le travail de Cynthia Zahar scénographe, directrice artistique, architecte d’Intérieure, créatrice de lustres et de bijoux.
Des projets architecturaux de plus grande envergure (restaurants, galeries d’art, appartements, boutiques et ateliers de créateurs de mode) lui ont permis d’ouvrir son propre bureau d’architecte.
Son amour pour les objets anciens n’est jamais loin, elle conçoit et fabrique des lustres depuis 20 ans pour des lieux publiques et pour des appartements. Ses lustres sont fabriqués en utilisant des objets qui lui tiennent à cœur. Les bols syriens avec pour « totems » des récipients, à Khol, les fleurs métalliques et les cuillères avec leur peinture dégoulinante, les boutons vintage, la passementerie et surtout les anciennes boites métalliques, la vaisselle et les moules à gâteaux. Toujours avec un même but pour l’ensemble de son travail : redonner vie à tous ces objets d’un autre temps pour garder et partager leur mémoire dans le présent et pour le futur.
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BELLADONE
Stand 55
Si le tableau est « une fenêtre ouverte sur le monde », pour l’artiste, la gravure en est le miroir.
Florence Joseph est une artiste graveuse. En parallèle de ses études en Histoire de l’Art, elle s’initie à la gravure (eau-forte, aquatinte, sucre, …) auprès de Joëlle Serve à l’Atelier 63, à la pointe sèche et au Chine-collé au contact de Didier Hamey et Muriel Moreau, ainsi qu’à différentes techniques d’estampe au fil des années (taille d’épargne, linogravure, monotype,… ). Au travers de ses gravures, elle s’intéresse et explore le champ de l’onirique, de l’impossible, du fantasque et du fantastique. Elle travaille actuellement à l’Atelier Contrepoint (Paris).
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Un marchand / Un artiste, édition 2024, du samedi 27 avril au dimanche 2 juin 2024
NOCTURNE SAMEDI 27 AVRIL JUSQU’À 22h
Marché Dauphine
132-140 rue des Rosiers
93400 Saint-Ouen
Samedi : 10h – 18h
Dimanche : 10h – 18h
Lundi : 11h – 17h